Il est un talent qu’on ne saurait dénier au Béninois : l’expression de sa fierté. Et bien souvent il n’en faut pas beaucoup pour qu’il frissonne du nombril à la poitrine, surtout quand il est question de son histoire, de son patrimoine. Il a les chevilles qui enflent. Heureusement qu’on n’a jamais condamné quelqu’un pour être chauviniste, tant s’en faut !